The Happy Ending

Publié le par A clôre - puis...en construction.

Passionnés, et : « écorchés »

 

dans leur passion. Leur ego ?

 

 

 

 

 

Ils avaient peut-être tous deux dû être déçus. Un jour, à un moment, à l’Instant, à l’instant même, à cet instant précis. Quand ?

 

 

La première passion : l’Illusion. La grande illusion qui nous font parcourir des longueurs incommensurables de joie, d’élans, d’impatience, d’excitation, de moiteur soudaine, de moiteurs, de courses fougues, d’émois, des mois, aidez-moi : des mois, deux moi ! Un. Euphorie ! Moiteurs ! En entracte : que de pulsations. Deux battements s’enchaînent dans un duettiste de palpitations, la Grande Palpitation après la grande déception, la Grande désillusion après les Grandes Espérances. Alors reprendre les courses fougues, l’Expectation, les projections sous les projecteurs. La projection ? S’unir dans l’unisson de ces deux êtres si fabuleux, si uniques, tant qu’on a l’impression de s’être toujours connus. Peut-être dans une autre vie. Une vie précédente mais dont on se souvient plus ou alors une vie antérieure…ah ça : oui ! c’est sûr. Presque certain.

 

 

Ah c’est si bien... Ce sentiment qui flotte comme un nuage qui n’assombrirait pas le soleil, puisque cette énorme étoile lumineuse à l’incandescence éternel se trouve en soi. En toi, et et moi. Nous deux. Les bonnes sensations des vagues dans un bain à remoues. Et ça ballotte. On se balance. Elle nous berce. On aimerait tant que cela ne s’arrête jamais. Encore. Encore. Encore ! Anchored in the chore du cœur in the shores of brigthing corps, walking away from the encore corpse that’s floating. Boredom of corpses, Forsakeness to the weakness face to fiercely strange farfadets to lead us, ô wicked unwise, to the true Face is in having the weakness to kiss the bliss of Wisdom.

 

 

 

 Un projet. Des projets. Des tas de projets ! L’éternité pour toute la vie. La Vie. Enfin ! La chance me sourit à moi qui me croyais petite souris. Grise par : choqué par la mort, et attristé de la véracité selon laquelle : ce sont bien des insectes et des vers qui nous bouffent impitoyable ce corps. Qui a été dorloter. Aimer. Blessé. A l’intérieur. Soi. Un soir qui mériterait d’être emmitouflés dans de la soie, juste un soir. Juste « un ». Mais que ce « un » soit éternel, surtout. Parce qu’après, j’aurais froid. Et toi aussi, non ? Je suis sûr que si. En fait, tu veux pas me le dire. J’aime ton ambiguïté. Tu es vraiment le seul homme qui me domine autant. Tu m’impressionnes quant à ton pouvoir sur moi. Que dis-je : peut-être des pouvoirs. Tu es magicien. Je me sus toujours dit que tu étais peut-être un magicien. Ou alors un sorcier qui m’aurait jeté un sort. Oui, je suis sous ton charme. Ô toi, je devrais dire « Toi ». Toi et moi. Toi et Moi. Toi & Moi. Moi & Toi. Toi mon petit toit. Un petit toit pour Ton Toi à Toi. Un grand toit pour nous deux. Deux, mais tellement unis. Peut-être télépathes. A chaque fois que tu dis quelque chose, je vais juste de le pensée à l’instant précédent. Même pas un « laps de temps ». C’est moins ou c’est plus ? Je ne sais plus. On va dire : l’élément temporel le plus court, non : microscopique -. Des éléments, c’est exactement ça, le terme. L’Elément. L’Evènement tant attendu. LA révélation du siècle. Ce siècle là qui prend toute sa circonstance méritée ! Quand même. Après toutes ces douleurs : de vraies tourmentations. Euh : de tourments. Et ce paradoxe de voir le soleil en noir après quelques minutes de fixation prolongés, et voir du plus en plus clair en fixant l’obscurité. Toujours maintenir jusqu’à changement de perception, La résistance. Résister c’est vivre. Donc vivre. Vivre. Car on le vaut bien. Quand même. J’espère qu’ils seront tristes. Qu’ils comprendront. Qui j’étais foncièrement. Moi, quoi : à l’intérieur. La beauté superficielle ne vaut pas la Beauté Intérieur. On m’a toujours dit que j’avais un bon fond. Ben, sauf les cons. Gainsbourg avait dit que « la connerie, c’était la décontraction de l’intelligence ». C’est vrai ? Je ne suis pas sûre. Mais c’est vrai que je me suis d’abord flattée de me savoir intelligente. On même aussi pour moi-m’aime. Celle qu’on est à l’intérieur. Son for intérieur. Et dans mon château fort. D’ailleurs, j’aimerais bien vivre, pas dans un château fort, car…c’est trop grand. Alors, ce serait un manoir. Mon Manoir. Je me suis alors pas demandé « pourquoi un Manoir ? ». Pour les escaliers en marbre ? Pour le tapis rouge sang assombri ? Si beau, ce rouge. Délicieux. Un régal. Pour les fins palés – en toute discrétion je pourrais dire « affamés ». Je me tais telle une tombe. Un mort. Je ne crois pas aux macchabées ! Mais souvent, sur une tombe où l’on peut y voir, en grattant la surface poussiéreuse. Si personne ne vient plus jamais vous voir. Parce qu’ils vous auraient oublier. Un peu comme dans une cave, sauf qu’il n’y aurait pas moyen de le savoir car rien pour vous enivrer. Que de paradoxes : une cave sans vin. Car in vinum veritas es. A Rome se trouve La Clef De La Verité. Mon souvenir me retransmet l’image, d’abord immédiate, en mouvements puis fixe, exacte, parfaite d’un homme aux paupières closes, ou peut-être ouverte, je ne sais plus, mais peut-être que c’est comme pour les statues grecs : un homme dont les yeux ne seraient ni creusent, ni fermer, ni ouvertes, ni à moitié, ni pleines, presque indéfinies. Mais dont l’indéfinissable n’est pas l’objectif ne plus révélateur de ce qu’est la Vérité. La Vérité Brute et Vraie. Sur la tête de l’homme sculpté : la bouche ouvert, dans un rond medium quant à la taille. Un rond parfait qui pourrait produire phonétiquement la l’autre « o ». Soit « oh » ou bien « awe » ou encore « law » et dans la ponctuation le « ! » ou le « ? » ou suivi de sigh. L’unique Verité. Et après choisir une religion ? Se tâter. Ne pas vouloir devenir communs. Même si les avantages s’agrandissent proportionnellement à la taille du société. Eden ! Eden ! Ich habe Eilen eben, sama, sum, und Sie ? She ? Equality. One. Eternity. Not illusions. No struggle but Truth. And always I’d be true to you. I’m honnest. L’honnêteté. L’authenticité. Les apparences sont trompeuses. Pourquoi les gens sont-ils souvent superficiels. Rien qu’à voir les pubs. Quand on regarde les peintures des siècles, les femmes étaient rondes, charnelles, belles dans leur nudité qui semble si blanche, crue, naturelle, pure, presque un halo de lumière, une lumière diffuse, l’intervention divine sûrement car la Beauté de ces femmes sur un tableau. Certains disent que ce ne sont pas les poseurs qui ont le mérite de ne faire que représenter ce qui est si l’expression, l’Incarnation de ce que ait pu représenter cette muse à ce qu’on appelle un artiste. Reconnu ou non, d’ailleurs. Qu’est-ce que la réussite d’abord ? La réussite par-ci, la réussite par-là ? Mais combien de gens soûlants avec leur quotidienneté banale. Mais bon, c’est le décor. Ne pas oublier La Lueur. Cette lueur qui n’est pas leurres hypocritement plagiés d’un côté douteux. Scabreux. Troublant ! On pourrait dire oui, mais on en a tant vu. Et un autre disait : Je ne crois qu’en ce que je vois. Je ne pense pas être bête. Non ! Je suis lucide. Tellement consciente. Même mon inconscient je crois en décrypter ce que je nomme « Cure ». Un regain. Non ! Un retour. Cet avant-là. Ah ! Avant… Quand c’était bien. C’était. Imparfait. Et pourtant cette conjugaison est plus que parfaite. La perfection n’existerait donc pas juste par qu’il n’existe pas de parfait dans le présent ? De présent parfait. En langue française, cependant. La linguistique est probablement utile, finalement. Mais cet avant a existé, vu que fut un Après. Après. Longtemps après. D’abord j’ai cru faire pitié, alors je fuyais les autres. J’aimais mon univers, il était devenu ma prison. D’ailleurs en faisant la parfaite et les gens, ces gens qui n’ont pas vu qui j’étais, en vrai, en moi, tout ça, dont je ne voulais rien dire. Et me premier a m’avoir percer à jour. A lire dans mes pensées, après lui avoir fait mes confidences de cette solitude que j’aime tellement, mais de ce sentiment d’être seule face au cosmos. D’ailleurs l’univers est infini. Alors je veux bien croire que dieu est éternel S’il existe ! Oui : il existe Dieu. Sinon, nous n’existerions pas. Et si ce n’était qu’un rêve ? Alors il serait aussi éternel que Dieu est imperceptible. Que bonheur : l’éternité. Mais pas d’enfer, hein ? De toute façon, le paradis et l’enfer…quand on voit les grands dirigeants. Ils ne sont pas bêtes : une vraie vie épicurienne. Les jeunes puritaines appellent ça : « le Scandaleux ». Les pas-de-chance s’habillent à la mode. Les artistes défaitistes aimeraient anticiper un mouvement pour être avant-gardistes, mais Humble, mais en marketing, ils appellent ça du « Novateur », ça fait un peu merchandising. Marketing. Ah, aux entretiens d’embauche, quand la pauvre DRH qui imitent barbie girl – phoney-smile moody / fonction répétition de mots alignés ayant un sens synthétique, précis, avec inspiration au bon moment, bonne ponctuation, presque musicale, mais pas naturelle, ça semble impossible, ça doit être un robot, ce qu’on…eux appellent la normalité. Ces hypocrites ! Ils ont l’air si gentils. Enfin il n’en reste pas moins que se plastique est si parfaite qu’on dirait de la cire. Cela m’étonnerait fort qu’on l’aperçoit au musée Grévin. Il n’existera plus à ce moment là, je pense : compte tenu de l’appauvrissement de la Culture. Notre monde mérite le meilleur. Tout va bien dans le meilleur des mondes. Et pourtant, dans ce monde-là, que je vois, que j’entends, qui me fait respirer (merci Dieu ou Dieux, je ne vous dirais jamais adieu) jamais ne dire jamais) Eternité), qui me fait vivre, vibrer, courir, exploser, pleurer, sangloter, aimer, ressentir, presque comme un orgasme. Il ne pourrait pas y avoir de plaisir au-delà de l’orgasme sinon le désir n’existerait, ne pourrait mathématiquement plus être ressenti. La petite mort. Réconfortante ? Néant. La fin. Noir. Aveuglé par l’aveuglement. Entre le génie et la folie : un pas. Et comment fait tout le monde ? Face à la Vie Normale, j’ai chaud – alors je dois mettre du parfum – du bon parfum – de la crème pour imiter ceux dont la cire du sourire que je trouve un peu figé, cette cire qui ne coule pas, mais ce sourire si meurtrissant finalement qu’on penserait cruels ou réconfortants ou manipulateurs ou bienveillants ou compatissants ou plein d’empathie. De la compréhension. Enfin, je ne suis pas seul sur terre. Perdu dans l’insignifiance de mon existence. Ne plus se demander : « et après la mort » poursuivi d’une probabilité exponentielle d’éventualités possibles et dont la plausibilité pourrait faire rire, rire les autres, se croire apprécier pour son originalité. Puis faire rire encore. Etre sollicité. Très. C’est tellement rassurant. On est aimé. Mais un jour j’ai entendu dire que. Et là : doute. J’en dis peut-être trop ? Et moi ? Personne ne me comprend ? Je suis seule face à mon insignifiance et tous les mots que j’inscris, qu’on les enterre avec moi. Et s’il vous plait, avant l’incinération, l’intérieur du cercueil : de la soie rouge sang sombre. Les mains en croix, sur le cœur. Et me faire faire un sourire par les maquilleurs qui succèderont aux embaumeurs. Que mon visage soit serein. Comme un soulagement, ce serait enfin. Pas le soulagement de partir…surtout alors que je me sens encore insignifiante. Non, leur donner espoir. Et durant la mise en bière, ne permettez pas la visite durant plus d’une minute. Une seule minute de silence devant ce visage que personne – à part Camélia (et ce médecin qui fut bon, mais trop naïf) n’ai pu voir avant que. J’espère qu’il y aura du monde, quand même.  Je rendrais mon unique roman totalement télécharge gratuitement sur le net à vous tous, tout l’univers entier, même les extra-terrestres, même Dieu – pour qu’il me ressuscite (car il sait que je suis foncièrement bonne, authentique car parfois toujours comprise (je voulais intituler ce Roman, car c’est est un, même si je ne le vends pas, pas financièrement – du moins, mais plus fatalement par l’acte qui va succéder la fin, pas la Fin du Monde…non ; je ne l’espère pas pour vous…imaginez : et si j’étais Dieu ? L’acte en question est un droit que je revendique. Vous diriez « ah zut » ou bien « quel dommage » ou encore « quelle dommage pour l’humanité » et puis des phrases du genre « il était très humain » ou alors « …un chouette type », puis « j’aurais bien voulu lui dire », puis penser « je m’en veux un peu », puis réagir « la culpabilité est inutile, je ne suis pas manichéen ! », douter des valeurs poulpes qu’on nomme parfois la  « main invisible », alors suis-je un démon de juste ressentir le fait qu’il me manque. Un chef d’œuvre rien qu’en l’exclusif clairvoyance d’une prédiction sur l’immortalité du Doute. Tous les doutes qui vous tournent en bourrique. Le paradoxe d’un baptême de non baptisé.

 

 

Il ? Elle ? Je confonds le genre. Et vous ? Ah, maintenant venons-en au genre du nombre. Et vous êtes combien à avoir lu l’intégralité de mon manuscrit ? Hélas, je décide de ne pas compter. Mais aurais été curieuse si une vie, la vôtre, juste celle qui compte à l’état de prolongent du présent. Le futur ? Le mien existe au travers de l’attention que vous portez inconsciemment de façon honorablement reconnaissable aux seuls mots qui ont été mon langage pour tenter l’incompréhensible du Sens, qui partait dans tous les sens, avec tous les sens en éveil. Un éveil continu, à lire les rêves demi-éveillés, à erreur dans les songes réels, la réalité rêvées, l’union des deux, l’harmonie, le berceau d’une paix aussi indécelable qu’inébranlable.

 

 

Juste avant de tuer. Pas bien. Le médecin qui ronfle comme un porc. J’ai du sang partout, mais ça, je laisse : pour la « déco ». Juste avant de tuer le gros porc. Je finis ces dernières lignes. En annexes : vous aurez toutes la listes des différents personnages du roman. Des explications. Mon remplissage du « Questionnaire de Marcel Proust ». Un lexique sur quelques néologismes, la non maladresse de mon usage, abus, incohérente ponctuation. Mon habilité. Mon humilité. Mon leitmotiv.

 

 

Le Sommaire. Une annexe de croquis et autres graphismes. Pas de photos. Je ne tiens plus à mon ego ! Je suis déjà presque morte et je vous souris. Mais l’autre là, ça y est : il est mort. Quel con ! C’était pas le moment idéal. Ça me coupe dans mon élan. Je suis pas troublée. Ok, c’est le premier mort que je vois. C’est pas que j’ai peur : rien à voir. C’est que ça me fait chier. Suer ! J’ai pas de pouvoirs magiques : zut. Que des conneries, ces contes pour enfant. C’est ça : devenir adulte ? Attention, nota bene : Il est mort : ok ; je ne sais pas pourquoi : ok ; pourtant j’en avais envie : ok ; je ne suis pas frustré de n’avoir pas commis l’effet du projet qui me réjouissant tant et me déçoit à présent de l’état actuel des choses, ce qui ne déroute en rien mon ultime chemin vers La Lueur. Je ne suis pas aveugle, vous le voyez bien. Je le vois le morbac. Je n’ai fait que voir des morts, en image, hight in color, blanc et noir, tragiques, réalités, montés, humoristiques, sarcastiques, explosés, explosées, décomposées, avant l’embaumement, bref je sais à quoi ça ressemble. Le principe du fait que les faits, mes événements expectés se produisent soudainement, véritablement, sous mes yeux. Une coïncidence ? Dieu ? Satan ? Pas de manichéisme. Une seule certitude, a dit Jésus : « La mort » (…) « Alors aimons-nous en vie ». Donc la raison qu’il soit déjà mort était, dois-je l’avouer. Etre ou ne pas être ? Naître : telle est la réponse. Elle vaut ce qu’elle veut. Donc, et l’autre…L’autre certitude ? Laquelle qu’elle était-ce ? La « certes » attitude. Tous ces visages de cire. La même décomposition. Le même paradoxe. Qu’est-ce que la mort ? la vie ? l’instant et tous cette grammaticalité ? Et combien de dimensions ? Et la réalité ? La pluralité de sa non unicité avec la non réalité ? Des degrés aussi lisses que l’immatériel est aussi escarpé que brute sur l méandreux enchevêtrement de méandres, au paraître si absurde, hasardeux, coïncidentaux, « occidentaux, nouvelles maladies mentales (économie : frustration/désir…aimour/haine…admiration/pitié…ascétime/désincarnation…harmonie/doute…conscience/folie…raison/question…question/insomies…La mort ?

 

 

 

 

Quand ?

          Pourquoi ?

Et peut-être bien ?

                     Pourquoi est-il mort comme ça ? Gros porc.

 

 

 

 

Je tape dans le tas de mon pied si délicatement chaussé de cette vieille chaussure poussiéreuse à talons pas vraiment usés, presque neufs. Peut-être même « pièces uniques », mais j’avais dit pas de « marketing » et je suis déjà rentière. Le succès….La reconnaissance universelle ? La réussite ? Et ce manque. Après l’orgasme – argent et sexe : nerfs de la vie ! – sur un disque platine de Explosions in the Sky en monde alternatif continu-raillé/sauts (qui me remplis toujours de sursauts dans l’intrusion du Silence, sur cette mélodie qui tente vainement, mais avec un acharnement telle qu’à travers les particules temporelles de valeur absolu, donc plus infimes encore que l’infini +, de cet air si appréciable quand rien ne va plus. Et là, rien ne va plus. Dans l’explosion fulgurante de l’Immonde Innommable : la Mort se présente face à moi-même, sans que je n’y puis rien faire pour l’exécuter. Au moins, un acte que j’aurais aimé expérimenter sur un autre. Un autre que moi-même. Donc la réponse reste indissoluble. L’heure approche. Je n’ai jamais oublié que je suis belle, mais pas seulement, et je ne suis pas superficielle, mais bel et bien décidé – du fait d’avoir conclu avec mon Roman Réussi (circonstanciellement, c’est accordé) sans avoir réalisé le seul but que je pensais intéressant, après l’illusion.

 

 

 

 

« Venez nombreux à mon enterrement ! il sera unique ! ». Une liste de remerciements, intimes, codés, intellectuelles, sincères, puis général avec une sincérité aussi véridique que le soumet l’assertion émise dans n’importe quels dictionnaires au monde et dans l’univers. L’infini.  Nous passerons le sujet afférant à la linguistique (pas toujours utile ; disons : utilisable à bon escient), ni non plus celui de l’inconsolable persistance de l’impossibilité de convergence d’un plaquant vœux résolue  du maintien de l’omniprésente fonction vitale qu’est l’Absolue de ce résiduel doute. Le Persistant. Qui ne définit rien. Différencie éventuellement d’autres êtres parmi d’autre autres. Ne limitons les illusions. Un psy m’avait trouvé « dépressif » car ironiquement j’avais énoncé (c’était bien avant la décision d’écrire mon roman, juste après avoir compris ce dans quoi je vous laisse sur votre fin) construire ? Mais tout ce qu’on construit nous même toujours à rien. Il n’a pas peut-être rien compris, bien que « rien » soit le terme prélevé sciemment dans le rapport qui suit : toutes les choses veulent dire les mêmes mots ; une citation de Wilde, pour un regretté junior :

 

 

« Certains vivent pour exister…D’autres existence pour vivre ».

 

 

A méditer.

 

 

Prochains livres à publier après ressuscitation :

1. Socle solide Sans Slides Sous le Sordide.

2. N’être ou ne pas naître.

 

3.La Désillusion si macabre.

 

4.Contes érotiques.

 

5.Aimer simplement.

 

6.Eternel instant.

 

7.Ne sois pas triste.

 

8.Les quatre saisons.

 

9. Deuil & Roses séchées.

 

10. Un sourire peut en cacher un autre.

 

11.Comme on fait son lit, on se couche.

 

12.Tropicales.

 

13.Amazones & Incas.

 

14.Monochrome, les joies de l’impensable.

 

15.La folie, une option.

 

 

 

Auto-interview ante-mortem par la géniastique romancière :

 

-         Le meilleur paradoxe :

« Ce présent absent à sa première cérémonie : pas de baptêmes. Pas d’ordres. Même pas comtesse, ça n’était qu’une pure fiction. »

 

 

 Y a un décalage ? Sinon, je recommence tout depuis le début. C’était de l’humour. Et donc, on se dit : je ne suis peut-être pas normale. Enfin : qu’est-ce que la Normalité ? La réalité : un cristal est capable d’émettre une multitude plus infini éternel de couleurs. Les facettes. La recette est toujours de regarder la personne pour tenter de capter. Pas la manipuler, mais sentir le feeling. S’il est possible ou pas. Attention : « je n’ai pas de préjugés ». Une certitude. Mais peut-être en aurai-je une plus réjouissante – et c’est peu de le dire. Et « the last but not the least ».      Mais chut ! Faudrait Voilà le + infini élément, partie d’é grisé de la solitude, le manque de fusionPromets-moi. Toujours. Jamais. Toi. Et : Moi. Ah, donc la spiritualité existe. C’est rassurant, j’avais perdu la foi. J’ai toujours douter. Même en fut terrifier. Je trouvais ça dommage. Puis après diverger vers le choix d’arrêter si ça en est trop. De ce corps que mon mental ne peut plus gérer. OU bien encore la crainte de la mauvaise interprétation. Des autres. De tenter faire « comme il convient » et s’en retrouver accusé. Sans banc aucun, debout, un passager qui marche, tête haute, dans l’allée parquée d’une parallèle de lignée interminable de juges. Toujours la tête haute en fixant que le seul point important dans ce que nous appelons « horizon » et pourtant ça ressemble à une étoile. En ne scrutant que cet lueur en surexposition, une lumière de telle illuminé qu’elle pourrait rendre aveugle. Et pourtant, plus jeune, j’aimais réussir à contrôler. Je faisais résistance à chacun des souffrances que pouvait éprouver mon corps. Une souffrance insidieuse dont les poulpes se parcourent dans une chevauchée aussi bruyante que le boucan  qui fait résonner tout l’univers. Un peu de raison, tout de même. On aurait entendu. On aurait alors su. Nous savons tout. Tous, nous le savons. Je dirais même que c’est inné. Pas besoin d’apprendre, ni même de s’instruire. Pour une reconnaissance sociale. L’absurdité des événements rendant toutes relations complètement indépendantes. Se vidant dans un éternel présent qu’on est les seuls à devoir en témoigner. C’est bien c’est moment de total abandon dans des occupations, finalement, admettons-le : totalement dépourvus d’intérêt. Certains parlent de paresse, je préfère le terme « fermiente ». Juste quelques moments durant lesquels il est plaisant de se sentir libre de penser. Se laisser libre-court dans notre imagination. Sortir de la réalité. Mais sortir pour…s’évader, c’est bien ça ? Il ne s’agit pas de « fuite », rassure-moi. De toutes façon il n’y a pas de fuites. Ni même chez moi. Aucune fuites. Tout est nickel. Parfait !

 

 

 

En échos : « Personne n’est parfait ».

 

 

 

Mais j’y crois, moi. Elle est si. Mais je me sens si bien. Quand elle me demande pourquoi je l’aime. Je lui dit : « tu es parfaite ». Au début, ça l’a faisait sourire. Mais elle reposa une seconde fois cette charmante question qui me fit à mon tour sourire. « Tu es parfaite. La femme la plus parfaite au monde ». Puis vint une deuxième réitération de cette question rigolote. « Plus parfaite que toi, tu meurs ». Une réponse, « plus con, tu meurs ! ». La question me gangrène la tête. Le cerveau. Mon cerveau. Et sa question en cerceau du serment qu’elle m’a demandé si naturellement bonnement et brutalement de tenir. Les promesses et la mise en route du mécanismes des concessions. L’installation du doute, de palpitation spontanée, le ressurgissement de la moiteur, visqueux, sueur, la mienne dans se sueurs qui ne cessent ces susurrements d’un disque rayé. Des doutes, doute de la normalement d’insomnies plus oppressantes qu’impatientes. De l’imprévisibles dans la stupéfaction de la prévisibilité de l’arrêt image d’une scène presque susceptible de se rendre absolument plus infinie billionnaire rien que pour la pose. Une pose-pause indescriptible.

a)   Insciemment imperturbable ?

b)   Obnibullation contagieuse ?

c)    Handicap par la conscience ?

d)  Quelle est notre certitude ?

e)    Mouroir, mouroir, dis-moi qui est la plus belle ?

f)     Subjectivité ? abjectivité ? Objectivité ? Objet/Sujet/Verbe/ Complément ?

 

 

g)   Complément/Manque ?

h)   Emplir/Pénétrer ?

 

 

Et vous, vous avez peur de la mort ?

 

 

Je vous laisse parole. J’y vais. Et n’oubliez pas : je vous aime, mârci.

 

 

 

 

Publié dans ROMAN

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