Pic of Placard du Tilleul

Publié le par Placard du Tilleul

Echos & Narcisse...Faut pas leur en vouloir...

D'abord la signalisation dans la ville DUROY :

 

 

Voici l'endroit hostile où...(ci-dessus)

Ils vivent...

- Et ça donne quoi ?

 ...ça !

ou encore ça ...

et ça...

and so on !

Love &c

Parce que je suis de la gent "gentille", dit-il : "gent : Il", je vais vous filer quelques liens...subtiles. Faut la trouver, parfois, la subtilité !

http://membres.lycos.fr/philocafe/cafe12-5.htm

et une de mes lectrices...

http://lucie-amatrice.levillage.org/

;)

Et pour la dernière pic..

- Ah du Tilleul, veut pas s'afficher en public...je lui ai dit, le net, c'est que du Virtuel !

 

- Ah non ! Pas de philosophie. Montesquieu avait bien raison. Juste trois mots.

- Ok. Ok, j'arrête de te soûler.

 

"La Nurse : - N : Oui, madame.   Mais je peux pas m?empêcher de rire,

Qu?elle s?arrête de pleurer et qu?elle dit « Voui ».

Et pourtant, je le jure, elle avait sur le front

Une bosse aussi grosse qu?un couillon de coquelet,

Un vilain choc.   Et elle qui sanglotait.

« Ca », fait mon homme, « tombée sur ta figure ?

Tu tomberas sur le dos quand tu seras en âge.

Hein, ma Julie ? »  Elle s?arrête, et dit « Voui. »" R.&J. by J'expire !

 

********************************* *** * *** * ***

-         Je pense à commencer réussir à m?éliminer de la partie de la Vie. C?est ce que tu voulais ?

-         Je t?avais dit que je voulais que tu sois heureuse et que tu te sentes bien.

-         Mais tout est pardonné. Il n?y a pas de limites à l?amour.

-         Je t?ai dit adieu.

-         Non, tu m?as dit « allez, adieu, ciao ».

-         Je t?ai dit autre chose ensuite.

-         Je sais. Je t?ai dit adieu, j?ai marché jusqu?à chez toi. Pour ce que tu souhaitais récupérer. Et pour le reste, peut-être que tu le jetteras. Quelle importance. Maintenant, c?est de ma vie, ou du suicide, dont il s?agit.

-         Pourquoi ? Tu es belle, intelligente?(jeune).

-         Parce que, je sais pas. Je n?y arrive pas. Le deuil, tu n?as pas connu avec moi, mais là, je le vis, tandis que tu t?es trouvé une nouvelle amiE, ta future avec qui tu ne commettras pas nos torts réciproques. D?ailleurs, je me demande comment, ça va se finir avec elle. Avec toi. Et avec moi. Et si les autres comprendront.

-         Comprendre quoi ?

-         Rien, rien. Le hasard, tu connais ?

-         Euh?

-         La meilleur circonstance.

-         Ah ? Pour ?

-         Et nous, c?était par hasard ?

 

Elle se tira une balle dans le front.

                                  *            *             *           *           *          *          *

Alors voici la bonne...

Adieu, mon Amour.

Oui, tu m'aimais. Et inversement.

A dieu, ton âme,

à toâ, ton destin,

et la route est infini...

*

Roman

 

[Passage intérieur quand Carles voit Angelina mourir]

 

Elle va mourir. Je le sens. La scène est glauque, pire que dans les films gores. C?est pas l?aspect esthétique qui me gêne. Mais je le sens. Il n?y a pas vraiment de sursauts dans son agonie. D?ailleurs, on dirait pas qu?elle agonise, elle ne gémit pas. On dirait qu?elle abandonne.

 

Et ces dernières paroles à cet Antoine !

 

Il y a une larme qui vient de glisser sur la joue creusée par un excédent de patience.

 

Qu?attendait-elle ?

 

Edmond : - Elle n?avait ni la force de mourir, ni celle de vivre.

Dame Tender : - Et pourtant, elle n?était pas morte. Je le lui avais bien dit.

Fatalité : - J?ai jamais compris pourquoi elle rejetait les gens qui l?aimait bien.

Cikuander : - Mais elle n?est pas morte qu?une seule fois ! Un jour, elle m?avait dit avoir l?impression d?être morte, d?avoir plus d?un siècle ; auquel j?ai répondu : « Mais Sonia, tu es déjà morte plusieurs fois ! ».

 

Carles attendait auprès d?elle, les yeux cernés, à l?affût d?un de ses moindres mouvements : pourvu qu?elle se réveille. Edmond était venue lui rendre visite, mais il avait tant vieilli. Fatalité n?était pas une erreur. Dame Tender dans son ascension vers l?ultime chute.

 

[Chute ! Une pluie de suicidés]

 

     ........L?Empire des Anges va commencer.......

 

Outre la scène d?hémorragie qui giclait, face à cet Antoine paralysé dans son état obsessif de scrutation du miroir qu?il venait de faire éclater du revolver prédisposé. Paralysé dans une longue prise de conscience léthargique mais euphorisante. Tandis qu?elle mourrait.

 

Avant de mourir, à côté d?elle, dans son sac, elle puisa ses dernières forces pour s?embaumer les lèvres d?un vernis de chez Roger & Gallet. Ses yeux toujours pas encore clos, s?inondèrent. Elle posa son regard sur ses ongles dont le vernis décrépissait, mais pas le vernis de chez Lancôme..ni même de KKKK. Un vernis tendance japonaise. Elle sourit. Elle regarda Carles, en arborant un sourire menti par l?encoignure des lèvres et les yeux, à présent, embuant sa vue :

 

-         Cher frère?

 

Carles : - Oui ?

Elle : - Je vais mourir. Mais n?oublie pas que je vous aime.

Edmond : - il y a une différence entre aimer et être humoureux.

Elle : - je ne suis pas humoureuse de mon frère.

Fatalité : - un frère spirituel ! et moi, sa s?ur spirituelle ! Et à moi, tu n?as rien à me dire ?

Elle : - J?aurais aimé que tu comprennes que je t?ai aimée.

Fatalité : - Tu es ma meilleure ennemie alors.

 

Elle voulu se lever pour se lever. Sa vue commença à se troubler, des tâches blanches, petit à petit l?apparition de taches blanches dans son champ limité de vision. Ses yeux en déconnexion avec le cerveau conscient, se strangulèrent dans l?axe droit de la pièce. Regarder à droite, c?est regarder l?avenir. A gauche, le passé. Sa tête, toute sa tête se crispa dans une pose tétanique suivant le même axe que son regard. Elle voulut se lever. Elle sentait. Un retour de salive au goût salé dans la bouche. Juste avant, après les derniers mots, elle s?était sentie si bien. Elle se leva, en voyant de moins en moins la réalité, mais de plus en plus la lumière de cette blancheur crue. Elle tenu sur ses jambes quelques instants, puis chuta.

 

Elle semblait morte.

 

Emma et Duchesse Tender. Et moi. Et elle, elle encore : Fatalité (au masculin, ça donne Firmin...Que je t?aime Firmin, comme le Firmament !). Quatre filles totalement différentes, du moins au delà de la peau. Définir les limites, tous nos sens en ébullition aimeraient tant trouver un moyen de faire taire toutes ses tiraillements qui nous font gesticuler comme des pantins. Juste être bien. Bien dans son corps.

 

Dans Léon, l?homme vivait avec sa plante. Sa vie semblait morne et pourtant il semblait heureux de vivre avec cette plante. Y avait-il une métaphore? ?

 

Ils semblaient si proches de lui. Cette homme de laquelle de cérémonie , je ne m?en sentais pas le droit d?être honoré de jouer un tel rôle. Et ça n?était pas drôle. J?ai émis quelques larmes, pas vraiment pour incarner le rôle de l?affecter. Je pensais à tous ceux que je ne vois pas, mes personnages que je tente vainement de faire vivre qu?en émettant si peu sur eux.

 

 

Fatalité : - Elle fait semblant.

Carles : - Non ! Non ! Pas toi ! Pourquoi ne m?as tu pas attendu ?

Emma : - je vais aller vomir je crois.

Cikuander : - Ah ! ah !

Dame Tender : - Elle est vivante, hein à Cikuander.

Antoine : - Mais de qui parlez-vous ? tout juste de sorti de son air d?ahurissement.

 

Sonia, toujours les yeux clos. Car ils s?étaient fermés dans la grâce d?une agonie douce. Son sourire s?esquissa sur ses lèvres.

 

Edmund : - Sacré Sonia ! Tu ne changeras jamais.

Fatalité : - On ne change personne.

Sonia : - Mais je voulais lui faire comprendre.

 

Le jeux des miroirs?le miroirs de « je ». Un labyrinthe laborieux quand on en cherche la sortie. Et que d?orties !

 

En même temps que mes yeux s?ouvrent plus grands encore sur les jours qui défilent

Un nouveau voile translucide s?est plaqué sur la fibre de mes outils oculaires

Se plaire à se dire qu?il fallait lâcher prise à l?aurore de notre histoire d?idylles

Je ne t?ai pas donné l?occasion de m?aimer, de me voir, de me palper.

 

Je n?existais pas encore. En morte, te suivant à pas chassés, mon fantôme

Aurait voulu qu?à ma naissance tu sois encore cet homme

Qui désirait tant mon cadavre.

Les vautours tout au tour au coup final,

Se sont ligués, pensant pouvoir me dévorer,

Mais de l??uf qui tentait de s?éclore,

Une nouvelle Eve, ton amour en elle, de l?or.

Les yeux pleins d?amour, à toi, elle pense et se lève

Et regarde tout autour d?elle, ce monde étrange 

 

Elle voit qu?enfin la naissance se fait une fois que trépassé.

 

Cher absent, ...

 

Fatalité Firminée souriait d?une couleur peu commune. Ni jaune des joueurs de tac o tic o tac dans les brasseries qui ne s?appauvrisseront jamais. The Saddest Music in the World.

 

La patience est ma qualité extrême. L?un des versants des Etats Limites déclarés (approximativement) de façon psychiatrie ((en étude contemporaine) le Nouveau thème Avant-gardiste (voir la citation se référant à la longévités des résidus persistant sous la houle éclatée de l?océan qui vient éroder à l?usure, l?usure du Temps et la Persistance de l?In.

 

L?Inscription. Elle s?y trouvait effectivement bien au dos, écrit en petit, comme de petites notices. Au dos de ce que vous aviez cru voir jusqu?avant votre Eveil.

 

Lying is an occupation. Quel regret serait la mise en bière de cette si apaisante musique que celle des Mots mensongers dont le plus

 

Il y a les consommateurs et les créateurs, les angoissés et les vaillants chevalier de la Bravoure, les normaux et les soupçonneux, les sociabilisés et les marginaux ultra sélectifs mais si tendrement sociables,  les contestateurs et les contemplateurs, les gens qui existent et les autres qui vivent, ceux qui pensent leur idéal et ceux qui vivent idéalement, ceux qui existent et ceux qui vivent.

 

Lettres et le Néant, aux ombres indéfinissables de savoir si le Néant - l?inimaginable ment, j?avais jamais saisi la chute après avoir connu l?inimaginable, en doux hommage à la musique « art :  « mineur » » ? ? n?est absolument pas la réponse à la question suivante : l?Ultra conscience hors méta truc machin ne serait pas mortels?décharges électriques : combien de volts ?

J?ai froid, tellement froid, mais ça n?intéresse probablement personne. On dit des cadavres qu?ils sont glacés. On m?a dit ne pas être morte et pourtant j?ai froid et pourtant les morts ne ressentent plus le froid. Breathing.

____________________________________________

 

The Book Of Law

The Book of Law...

 

Mais avant ça, quelque chose de drôle.

 

Ce sont des citations sur des bandes sonores.

 

Un hommage aux sorciers :

« Un pont sur l?infini sous lequel coule un océan d??de vie ».

·        Préface : de Cummings, quand même. « -Oh oui, quelle chance nous avons (?) d?habiter l?intemporel : Nous qui flânant (?) pour (?) naître et mourir un jour ((?) peut-être).

 

 

  • « Il monté le long du parachute principal ; évidemment, je suis maintenant attaché à deux chandelles qui plongent ».

 

  • « Il change. Chaque jour plus lointain, protégé, distant. Au lieu de chercher, il conçoit des épreuves pour l?âme s?ur qu?il n?a pas trouvée ; il construit un mur, un labyrinthe, une forteresse et la met au défi de le trouver, caché au milieu de tout cela. Il excelle à se protéger lui-même de celle qu?il pourrait aimer et qui pourrait un jour l?aimer. Il est maintenant engagé dans une course? le trouvera-t-elle avant qu?il ne se tue ? »

 

  • « Puis je me remets debout, et j?enlève le sable et l?armoise de mes vêtements. Sans raison, un vieil air de rock?n roll se met à me trotter dans la tête. J?y prête à peine attention. Désinvolture affectée ? »

 

  • « - la plupart des hommes ne peuvent pas comprendre. Je vis comme je veux. Je suis avec eux si je le veux. Je vis comme je veux. Ça ne te fait pas peur ? Elle fit glisser les bretelles de son maillot de bain, pour bronzer également.

 

  • « Je suis ici non pas parce que je suis censé être ici, ou parce que je suis coincé ici, mais parce que c?est mon plus cher désir. »

 

  • « Je suis extrêmement sensible ».

 

  • « Je déteste les intrus, les briseurs d?intimité. Si jamais tu laisses entendre que j?en suis un moi-même, tu me trouveras parti avant d?avoir fini ta phrase . »

 

  • « C?était des douces alliances contre la solitudes, des histoires d?amour froides et rationnelles, sans amour. »

 

  • « L?amour, (?), était un malentendu tragique ; (?) : l?amour entre un homme et une femme ne s?avoue plus. »

 

  • « La véritable âme s?ur se trouve dans plusieurs personnes différentes . »

 

  • « Cette idée de la femme parfaite en plusieurs femmes était insurpassable. »

 

  • « (?) pas d?erreurs. Les situations, (?) si désagréables (?), nécessaires pour (?) apprendre ; (?) ; la nuit, beaucoup de femmes, dont chacune était ravissante, dont aucune n?était elle. »

 

  • «  (je riais de moi-même. Comme le ) vieux mythe de l?amour unique est difficile à détruire ! »

 

  • « Ce sont des étrangers pour moi, comme tout le reste dans ma vie. Qu?est ce que je cherche à apprendre ? »

 

  • « (qu?ai-je appris d?autre ? Que) je n?avais pas survécu à la vie publique sans changer. (Je n?aurais jamais pu y croire, auparavant, que quelqu?un puisse garder de la curiosité pour ce que je pense, ce que je dis ; vouloir savoir de quoi j?ai l?air (sur la musique de Kissing you : R & J), où je vis, ce que je fais de mon temps et de mon argent ; ou que cela m?affecterait à ce point et) me pousserait à me terrer. »

 

  • « Un sens aux idées étranges »

 

  • « Mais elle me poussait maintenant au mariage. »

 

  • « Les joueurs d?échecs tracent leur propre portrait en déplaçant leurs pièces. »

 

  • « (j?avais vu ce visage pour la première fois il y avait des années) ; nous nous étions rencontrés de la façon la plus importante : par hasard.

 

  • « Cxa6, Cxé6 ! »

 

  • « (les mois suivants, nous formions une association. Elle se mit au travail pour trouver le moyen de réaliser le film avec la plus faible probabilité de désastre, et nous jouions au) meilleur des onze parties. »

 

  • « Quelle étrange alchimie entre nous ! J?étais persuadé qu?elle était liée à beaucoup d?hommes, tout comme elle supposait que j?étais entouré de femmes. »

 

  • « ?j?étais à côté d?une femme extraordinairement belle, que la pensée qui avait ce visage exquis lui avait aussi donné un corps à l?avenant. »

 

  • « esprit charmant et désincarné »

 

  • « Pour l?amour j?avais ma femme parfaite ; il me fallait garder?.telle quelle, comme amie et comme associée. »

 

  • « Je ne ressentais ni colère, ni désespoir, comme si j?étais tombé dans une comédie » *

 

  • « Le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument ». quotation.

 

  • « sa caractéristique (?) ? (?) être imprévisible ? »

 

  • « Célébrité »

 

  • « c?est autre chose ( ), c?est ce que tu représentes pour eux. ».

 

  • «  Est-il vrai, lui demandai-je, que les belles femmes mènent une existence tragique ? »

 

  • « J?adorais ouvrir les livres pour voir comment ils écrivaient. Les écrivains créent des livres comme nous écrivons nos vies. L?écrivain peut faire vivre à n?importe quel personnage n?importe quel événement pour n?importe quelle raison et à n?importe quelle fin. Que fait tel ou tel écrivain d?une première page blanche ? Que fait-il de mon attention et de mon esprit lorsque je lis ses mots ? M?aime-t-il, me déteste-t-il ou n?a-t-il que faire de moi ? J?avais découvert que certains écrivains sont du chloroforme, mais d?autres du poivre et du gingembre. »

 

  • « Epargne-moi tes histoires de libertés?Tu es partie?toi-même?Merci?Il y a un dernier planeur ce soir, non ?? Non, le Phoenix serait parfait?Pas un mot entre nous. Je mis les valises?dix minutes?une petite lune qui riait de côté?tristement?notre coup de téléphone?sauvé notre vie commune de justesse?Qu?est-ce que je fais ? Elle est la plus sage et la plus belle des femmes qui ait jamais effleuré ma vie et je la laisse partir ! »

 

  • « Elle avait l?air un peu penaud.

 

-         Il n?y a pas eu d?autres enchères.

-         Personne d?autre n?a rien offert ? Jamais ?

-         Non.

-         Hourra !

-         Pas hourra, dit-elle.

-         Pas hourra ?

-         Tu avais raison. On n?aurait pas dû offrir tant. »

 

  • « Je l?ai encore serrée dans mes bras ».
  •  « Tu es vivante ! dis-je

-         Nous sommes vivants ensemble. »

  • « J?avais renoncé à te chercher, j?étais heureuse seule (?). J?aimais vivre seule. Je pensais qu?il en serait ainsi pour le reste de ma vie. »
  • «  - Et moi je me serais étranglé avec ma liberté, dis-je. Ça n?aurait pas été mal, ç?aurait été ce que nous connaissions de mieux. Comment une chose que nous n?avions jamais connue aurait-elle pu nous manquer ?

-         Elle nous manquait pourtant, (?) ! De temps en temps, quand tu étais seul, qu?il y ait eu des gens autour de toi ou non, tu ne t?es jamais senti triste à en pleurer, comme si tu étais le seul de ton espèce au monde ? 

Elle posa la main sur mon visage.

-         Tu n?as jamais menti, dit-elle, qu?il te manquait quelqu?un que tu n?avais jamais rencontré ? »

 

« - Je PEUX faire tout ce que je veux.

-         QU?est ce que ce serait ?

-         Ce que nous avons appris.

-         Et tu veux la donner ?

Publié dans ROMAN

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